Le pétrole se stabilise à 50,80 Dollars le Baril

Les cours du pétrole reculaient mardi en fin d'échanges européens, la faiblesse de la demande mondiale et l'inquiétude d'une nouvelle augmentation des réserves mondiales pesant sur les prix.

Vers 16H00 GMT , le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 50,50 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 23 cents par rapport à la clôture de lundi.il se stabilise à Les cours du pétrole reculaient mardi en fin d'échanges européens, la faiblesse de la demande mondiale et l'inquiétude d'une nouvelle augmentation des réserves mondiales pesant sur les prix.

Vers 16H00 GMT , le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 50,50 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 23 cents par rapport à la clôture de lundi.le brent remonta à 50,80 Dollars en augmentation de 18 cents 

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de septembre cédait 18 cents à 47,41 dollars.puis remonta à 47,- Dollars le Baril

Le baril a touché son plus bas en trois semaines vers 14H00 GMT, à 50,02 dollars pour le Brent et à 47,02 dollars pour le WTI.

Les marchés s'inquiètent notamment d'une demande des raffineries chinoises moins forte que prévu en juillet.

"Il n'y a aucune information capitale qui justifierait la baisse des prix depuis lundi, si ce n'est la forte hausse des sept dernières semaines", quand les cours ont grimpé de plus de 15%, selon les experts qui reconnaissent cependant que la vigueur de la production, notamment aux Etats-Unis, pèse sur le marché.
"Pour que la production américaine de pétrole de schiste recule, il faudrait déjà que le nombre de puits actifs arrête d'augmenter", a-t-il expliqué, soulignant que cette croissance était moins forte qu'auparavant, selon les données de l'entreprise privée Baker Hughes.

"Mais le nombre continue d'augmenter de façon marginale plutôt que de reculer nettement", a-t-il conclu.
Les marchés analyseront mercredi un autre indice de la situation du marché aux Etats-Unis à travers les données hebdomadaires du Département américain de l'Energie (DoE).
Pour la semaine achevée le 11 août, les stocks de brut pourraient avoir reculé de 3,4 millions de barils, ceux d'essence de 450.000 barils, et ceux de produits distillés de 250.000 barils, 

Les analystes de BNP Paribas, qui misaient jusqu'à présent sur une légère baisse des réserves mondiales en 2017, prévoient désormais une légère hausse de 900.000 barils.

"Nous allons sortir de la période estivale de forte demande, et l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) et la Russie vont devoir faire face à un afflux d'offre plus fort que la demande. S'ils ne parviennent pas à s'accorder pour augmenter leurs baisses de production, ce qui est difficile, le rééquilibrage du marché va être compliqué", ont-ils expliqué.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de septembre cédait 18 cents à 47,41 dollars.

Le baril a touché son plus bas en trois semaines vers 14H00 GMT, à 50,02 dollars pour le Brent et à 47,02 dollars pour le WTI.

Les marchés s'inquiètent notamment d'une demande des raffineries chinoises moins forte que prévu en juillet.

"Il n'y a aucune information capitale qui justifierait la baisse des prix depuis lundi, si ce n'est la forte hausse des sept dernières semaines", quand les cours ont grimpé de plus de 15%, a tempéré Bjarne Shieldrop, analyste chez SEB.

Il reconnaît cependant que la vigueur de la production, notamment aux Etats-Unis, pèse sur le marché.

"Pour que la production américaine de pétrole de schiste recule, il faudrait déjà que le nombre de puits actifs arrête d'augmenter", a-t-il expliqué, soulignant que cette croissance était moins forte qu'auparavant, selon les données de l'entreprise privée Baker Hughes.

"Mais le nombre continue d'augmenter de façon marginale plutôt que de reculer nettement", a-t-il conclu.

Les marchés analyseront mercredi un autre indice de la situation du marché aux Etats-Unis à travers les données hebdomadaires du Département américain de l'Energie (DoE).

Pour la semaine achevée le 11 août, les stocks de brut pourraient avoir reculé de 3,4 millions de barils, ceux d'essence de 450.000 barils, et ceux de produits distillés de 250.000 barils, selon la médiane d'un consensus d'analystes compilé par l'agence Bloomberg.

Les analystes de BNP Paribas, qui misaient jusqu'à présent sur une légère baisse des réserves mondiales en 2017, prévoient désormais une légère hausse de 900.000 barils.

"Nous allons sortir de la période estivale de forte demande, et l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) et la Russie vont devoir faire face à un afflux d'offre plus fort que la demande. S'ils ne parviennent pas à s'accorder pour augmenter leurs baisses de production, ce qui est difficile, le rééquilibrage du marché va être compliqué", ont-ils expliqué.

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